La Quotidienne #1: Straight-edge

La Jeunesse Francophone Insoumise (LJFI) vous présente le mouvement Straight-edge pour le rendre populaire en France et à l'ensemble du Monde Francophone.

Au milieu des années 80 une « sous-culture » du punk nommée Straight-edge propose de fédérer un public punk de l’époque autour de valeurs saines. Pour certains Straight-edge, être Straight-edge c’est respecter son corps en tant qu’expression de la matière vivante. L’étude de la société et de l’interaction humaine avec la nature mène invariablement à la critique du mode de production capitaliste qui s’approprie violemment la nature, se nourrit et perpétue systématiquement des oppressions pour se reproduire. La seule chose qui compte aux yeux des Straight-edge c’est la recherche d’autonomie populaire sans auto-destruction!

Aujourd'hui le mouvement Straight-edge inspire la jeunesse en Islande et ailleurs. L’Islande a détourné sa jeunesse des drogues, alcool et tabac en réalisant un triple engagement  qui instaure un couvre-feu, facilite la pratique artistique ou sportive, et fait comprendre la chimie du cerveau des enfants. Ailleurs de plus en plus d'adolescents se détournent des substances illicites. Les générations qui viennent s'intéressent moins à l'alcool et la drogue que leurs ainés, jusqu'à renouer avec la mouvance Straight-edge des années 1980.

Être straight edge, c’est avoir un comportement au quotidien correspondant à trois choses précises, symbolisées par des « X ». Le premier « X » consiste en le fait de ne pas boire d’alcool. Le « X » est d’ailleurs une allusion à une croix qu’on marquait sur la main des mineurs dans les bars. Le second « X » tient au fait de ne pas prendre de drogues, qu’elles soient légales ou illégales, « douces » ou « dures ».Enfin, il y a le troisième « X », qui est tout aussi important que les autres. On peut le résumer au principe de ne pas avoir de rapports sexuels avec une personne sans s’engager avec celle-ci dans une relation durable."

LJFI s'oppose aux lobbys de l'alcool et des drogues ainsi qu'à l'addiction sexuelle:

 1) Pour le problème d'écotoxicologie lié à l'éthanol (molécule de l'alcool): Refuser ou réglementer la production et la consommation des boissons alcoolisées.              
 
 2) Pour le problème d'addiction et le problème d'écotoxicologie lié tabagisme passif: Refuser ou réglementer la production et la consommation des drogues (le cannebis, la cocaïne, l'héroïne, le LSD, la méthamphétamine, le tabac).

 3) Pour le problème d'addiction sexuelle: Refuser les rélations sexuelles non consenties sans sentiments avec une personne.



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